Graphiste à Tours 37, Photo de profil dynamique de la fondatrice de Koïlors. Elle porte à la main, un ipad et un stylet.

Koïlors : ça, c’est de l’aventure !

 

Moi, c’est Laureen – et pas Laurine, OK ? (Oui, c’est toute une épopée à chaque RDV).

 

Mon addiction (saine) : l’illustration

 

 

Je n’ai pas vraiment envie de vous parler ici de couleurs, de typos et de fichiers (le comble pour une graphiste). J’ai surtout envie de vous parler de mon amour de toujours : l’illustration. C’est par elle que j’ai compris que les visuels pouvaient raconter, émouvoir, faire rire, faire réfléchir. C’est aussi elle qui m’a conduite jusqu’au graphisme, comme une évidence (ça fait cucul mais c’est vrai, que voulez-vous) !

Aujourd’hui, même si mes journées sont rythmées par des briefs clients, des supports et des stratégies de com’ (ça fait partie du job) : l’illustration reste une façon pour moi de m’exprimer, de m’évader, mais aussi de garder cette petite touche sensible et intuitive dans mon travail. 

Bien sûr que j’aime penser les stratégies, imaginer une identité visuelle ou créer des visuels Insta. Mais l’illustration reste mon terrain de jeu le plus libre, le plus instinctif. Un espace à moi, où je peux raconter sans craintes, créer intuitivement et mettre un bout de mon âme dans chaque trait.

 

 

Illustration onirique d'une jeune femme nue en position fœtal. Les couleurs sont vives et chaudes.
Illustration onirique d'une petite fille sur la lune dans l'espace qui essaie d'atteindre une étoile qui brille. La petite fille brille comme l'étoile, car s'en est une.

Des dessins d’école à la com’

 

 

 

 

Affiche à l'aquarelle d'un homme en fauteuil roulant dont l'image est brûlée, pour représenter l'impact du harcèlement contre les handicaps.

Tout a commencé avec des illustrations (hasard de dingue !) de poésie en primaire. Je mettais le paquet, croyez-moi. Puis, mon amour pour le dessin a pris de plus en plus de place, jusqu’à prendre une tournure plus pro au lycée. J’ai exploré la BD, la pub, les slogans bien trouvés et les campagnes de sensibilisation. Mention spéciale à mon projet de Bac : une campagne contre les discriminations liées au handicap, inspirée de la HALDE. Elle était à la fois utile et sensible, tout ce que j’aime.

C’est en DNMADE à l’ESAAB que je me suis spécialisée en graphisme éditorial. Et là… révélation ! J’ai découvert le pouvoir du bon alignement texte + image, et l’importance de la lisibilité. Mon mémoire portait d’ailleurs sur la surinformation dans les supports graphiques : quand trop d’infos tuent l’info. Eh oui, la clarté, c’est la clé.

Affiche pour défendre le handicap dans le sport et contrer la discrimination. Fait à l'aquarelle.

Graphiste engagée
(et pas que sur le papier)

 

 

Cause animale 100%
Inclusivité 100%
Féminisme 100%
Luttes sociales 90%
Accessibilité 80%
Éco-responsabilité 70%

Les actions valent plus que les mots. Depuis avril 2023, je suis graphiste bénévole pour Convergence Animaux Politique (CAP). Une manière pour moi de mettre mes compétences au service d’une cause qui me tient à cœur : le bien-être animal et la prise en compte du vivant dans les décisions politiques. M’engager de cette façon, c’est aussi montrer que la communication visuelle peut avoir un vrai pouvoir d’impact, et qu’elle mérite d’être mise au service de projets sociétaux vraiment utiles.

Photo d'une personne qui feuillette un livre sur une table basse, entourée d'autres livres.

La spécialité de la maison : l’édition

 

 

L’éditorial, c’est mon dada. Flyers, brochures, magazines, mise en page de contenus complexes ou de visuels récurrents : j’adore tout ce qui mêle technique et esthétique. Pourquoi c’est si important ? Parce que 90 % des infos retenues par le cerveau sont visuelles (eh oui Gertrude).

Et pour qu’un message soit entendu et retenu, il faut que la manière dont il est mis en scène soit claire, lisible et adaptée à son public. Je veille donc à l’accessibilité de tous mes supports, en pensant contrastes, marges, hiérarchie visuelle, ressenti, et même psychologie. (Oui, ça fait beaucoup de choses à la fois, mais je m’y retrouve, promis).

 

Confidences sur confidences (ça reste entre nous)

 

 

• J’ai un chat qui s’appelle Pikly, en hommage à l’agent de Lilo & Stitch.

• J’adore le soleil, mais j’y suis allergique. Oui, la vie est pleine d’ironie.

• Dans une autre vie, j’aurais voulu être avocate ou vétérinaire.

• Le Canada, la Corée du Sud et le Japon sont sur ma bucket list.

• J’ai été championne régionale d’aérobic (eh ouais).

• Quand j’étais petite, on m’appelait Génormica, parce que j’étais grande pour mon âge.

• Si j’étais une émotion, je serais l’empathie… un peu la bonne humeur aussi (et parfois une pincée de “légèrement trop enthousiaste devant une belle mise en page”. Chacun son kiff).

 

 

Photo de la fondatrice de Koïlors avec son chat noir Pikly dans les bras.
Photo de la fondatrice de Koïlors, enfant en train de faire de la poterie.
Photo de la fondatrice de Koïlors, enfant avec des grosses lunettes de soleil.
Photo de la fondatrice de Koïlors, enfant en train de peindre une poterie.
Image du film Monstre contre Aliens.

Et maintenant ?

 

 

Aujourd’hui, chaque projet est une nouvelle scène sur laquelle je m’éclate et où je mets en lumière des histoires touchantes et singulières. Ce que j’ai à vous offrir, c’est bien plus qu’un logo, un flyer ou une jolie couleur. C’est un travail d’équipe, des blagues parfois pourries, une écoute active, une image réfléchie, une stratégie calibrée. C’est un coup de crayon qui vous révèle, pas qui vous déguise.

J’ai choisi ce métier pour mettre du sens dans mon activité, créer des connexions, et des images qui en disent long. Et si vous êtes là, c’est sûrement que vous aussi, vous avez quelque chose à dire et que vous voulez (re)mettre du sens dans votre com’, non ?

Bah, je crois bien que je suis la personne la mieux placée pour vous y aider…

 

 

Alors, prêt·e·s à faire de votre com’ un outil puissant, sensible, et un brin (ou à donf) Koïloré ?

Graphiste à Tours 37, Photo de profil dynamique de la fondatrice de Koïlors. Elle porte à la main, un ipad et un stylet.

Koïlors : ça, c’est de l’aventure !

 

Moi, c’est Laureen – et pas Laurine, OK ? (Oui, c’est toute une épopée à chaque RDV).

 

Mon addiction (saine) : l’illustration

 

 

Je n’ai pas vraiment envie de vous parler ici de couleurs, de typos et de fichiers (le comble pour une graphiste). J’ai surtout envie de vous parler de mon amour de toujours : l’illustration. C’est par elle que j’ai compris que les visuels pouvaient raconter, émouvoir, faire rire, faire réfléchir. C’est aussi elle qui m’a conduite jusqu’au graphisme, comme une évidence (ça fait cucul mais c’est vrai, que voulez-vous) !

Aujourd’hui, même si mes journées sont rythmées par des briefs clients, des supports et des stratégies de com’ (ça fait partie du job) : l’illustration reste une façon pour moi de m’exprimer, de m’évader, mais aussi de garder cette petite touche sensible et intuitive dans mon travail. 

Bien sûr que j’aime penser les stratégies, imaginer une identité visuelle ou créer des visuels Insta. Mais l’illustration reste mon terrain de jeu le plus libre, le plus instinctif. Un espace à moi, où je peux raconter sans craintes, créer intuitivement et mettre un bout de mon âme dans chaque trait.

 

 

Illustration onirique d'une jeune femme nue en position fœtal. Les couleurs sont vives et chaudes.
Illustration onirique d'une petite fille sur la lune dans l'espace qui essaie d'atteindre une étoile qui brille. La petite fille brille comme l'étoile, car s'en est une.

Des dessins d’école à la com’

 

 

 

 

 

Affiche à l'aquarelle d'un homme en fauteuil roulant dont l'image est brûlée, pour représenter l'impact du harcèlement contre les handicaps.

Tout a commencé avec des illustrations (hasard de dingue !) de poésie en primaire. Je mettais le paquet, croyez-moi. Puis, mon amour pour le dessin a pris de plus en plus de place, jusqu’à prendre une tournure plus pro au lycée. J’ai exploré la BD, la pub, les slogans bien trouvés et les campagnes de sensibilisation. Mention spéciale à mon projet de Bac : une campagne contre les discriminations liées au handicap, inspirée de la HALDE. Elle était à la fois utile et sensible, tout ce que j’aime.

C’est en DNMADE à l’ESAAB que je me suis spécialisée en graphisme éditorial. Et là… révélation ! J’ai découvert le pouvoir du bon alignement texte + image, et l’importance de la lisibilité. Mon mémoire portait d’ailleurs sur la surinformation dans les supports graphiques : quand trop d’infos tuent l’info. Eh oui, la clarté, c’est la clé.

 

Affiche pour défendre le handicap dans le sport et contrer la discrimination. Fait à l'aquarelle.

Graphiste engagée (et pas que sur le papier)

Les actions valent plus que les mots. Depuis avril 2023, je suis graphiste bénévole pour Convergence Animaux Politique (CAP). Une manière pour moi de mettre mes compétences au service d’une cause qui me tient à cœur : le bien-être animal et la prise en compte du vivant dans les décisions politiques. M’engager de cette façon, c’est aussi montrer que la communication visuelle peut avoir un vrai pouvoir d’impact, et qu’elle mérite d’être mise au service de projets sociétaux vraiment utiles.

Cause animale 100%
Inclusivité 100%
Féminisme 100%
Luttes sociales 90%
Accessibilité 80%
Éco-responsabilité 70%
Photo d'une personne qui feuillette un livre sur une table basse, entourée d'autres livres.

La spécialité de la maison : l’édition

 

 

L’éditorial, c’est mon dada. Flyers, brochures, magazines, mise en page de contenus complexes ou de visuels récurrents : j’adore tout ce qui mêle technique et esthétique. Pourquoi c’est si important ? Parce que 90 % des infos retenues par le cerveau sont visuelles (eh oui Gertrude).

Et pour qu’un message soit entendu et retenu, il faut que la manière dont il est mis en scène soit claire, lisible et adaptée à son public. Je veille donc à l’accessibilité de tous mes supports, en pensant contrastes, marges, hiérarchie visuelle, ressenti, et même psychologie. (Oui, ça fait beaucoup de choses à la fois, mais je m’y retrouve, promis).

 

Confidences sur confidences (ça reste entre nous)

 

 

• J’ai un chat qui s’appelle Pikly, en hommage à l’agent de Lilo & Stitch.

• J’adore le soleil, mais j’y suis allergique. Oui, la vie est pleine d’ironie.

• Dans une autre vie, j’aurais voulu être avocate ou vétérinaire.

• Le Canada, la Corée du Sud et le Japon sont sur ma bucket list.

• J’ai été championne régionale d’aérobic (eh ouais).

• Quand j’étais petite, on m’appelait Génormica, parce que j’étais grande pour mon âge.

• Si j’étais une émotion, je serais l’empathie… un peu la bonne humeur aussi (et parfois une pincée de “légèrement trop enthousiaste devant une belle mise en page”. Chacun son kiff).

 

 

Photo de la fondatrice de Koïlors avec son chat noir Pikly dans les bras.
Photo de la fondatrice de Koïlors, enfant en train de faire de la poterie.
Photo de la fondatrice de Koïlors, enfant avec des grosses lunettes de soleil.
Photo de la fondatrice de Koïlors, enfant en train de peindre une poterie.
Image du film Monstre contre Aliens.

Et maintenant ?

Aujourd’hui, chaque projet est une nouvelle scène sur laquelle je m’éclate et où je mets en lumière des histoires touchantes et singulières. Ce que j’ai à vous offrir, c’est bien plus qu’un logo, un flyer ou une jolie couleur. C’est un travail d’équipe, des blagues parfois pourries, une écoute active, une image réfléchie, une stratégie calibrée. C’est un coup de crayon qui vous révèle, pas qui vous déguise.

J’ai choisi ce métier pour mettre du sens dans mon activité, créer des connexions, et des images qui en disent long. Et si vous êtes là, c’est sûrement que vous aussi, vous avez quelque chose à dire et que vous voulez (re)mettre du sens dans votre com’, non ?

Bah, je crois bien que je suis la personne la mieux placée pour vous y aider…

 

Alors, prêt·e·s à faire de votre com’ un outil puissant, sensible, et un brin (ou à donf) Koïloré ?